Découverte du langage L1 LEA

La Surdité

Aspects sociolinguistiques du langage

Aspects psychologiques du langage

Lorsque l’on parle ou écoute, cela nécessite un traitement de l’information, c’est la souplesse du cerveau qui déterminera la qualité de l’apprentissage : il y a une plasticité du cerveau.
ex : si l’on est aveugle, les neurones qui travaillent sur le visuel vont être employés pour travailler sur l’audition
Quand on est « bombardés de stimuli » s’entraînent des connexions entre les neurones, les connexions entre les neurones se nomment synapses. La plasticité du cerveau dépend directement du nombre de synapses, bien que présente à tout âge, elle dépend du system sensoriel et du système moteur.
Dans chaque cerveau, il y a un nombre astronomique de neurones : 100 milliards chez un adulte pour 10 milliards de milliards de synapses. Maintenant, s’il on veut créer des synapses, il faut des milliards de stimuli, en gardant en tête que la nature / la modalité du stimulus, est importante.

Principe de Hebb
« neurons that fire together, wire together »
Lorsque deux neurones s’activent en même temps, ils se connectent et connectent entre eux deux éléments, renforcement moteur ?
-« de » est différent de « à » en français et ship est différent de sheep en anglais. 

Neurones miroirs
Le rôle principal des neurones miroirs est de comprendre les neurones moteurs, ils servent à renforcer les synapses.

La focalisation
C’est l’habitude que l’on ne peut pas changer, par exemple, parler anglais avec un accent français. Néanmoins, une situation de focalisation peut évoluer grâce à la plasticité du cerveau. 

Apprendre une langue à partir de la prosodie (intonation, rythme …etc). Le fœtus capte l’intonation d’une langue, puis il faut faire des répétitions en cœur pour activer la mémoire sensorielle-moteur, bouger pour créer de nouveaux stimuli et donc de nouvelles synapses. Il faut établir ses connaissances dans la mémoire à long terme. 

Lorsque l’on parle de cognition, on parle de ce qui se passe dans le cerveau. C’est un réseau où tout est interconnecté, à partir de là, on peut tout moduler. L’apprentissage, c’est le renforcement des synapses dans le réseau par la récurrence.
On parle de deux sortes de connaissances : 

  • Les connaissances déclaratives qui sont des données auxquelles nous prêtons beaucoup d’attention, c’est « savoir que »
  • Les connaissances procédurales sont des processus auxquels on ne prête plus attention : « savoir comment »

Dans l’apprentissage d’une langue, ces notions ont un rôle majeur : l’attention, le feedback, la catégorisation.
L’attention est évidemment indispensable pour arriver à apprendre correctement, le feedback aide à se situer par à rapport à son objectif et la catégorisation aide à fonctionner de manière efficace. 

La prononciation : un phénomène cognitif et moteur. Dans une langue étrangère inconnue, on croit entendre des sons semblables à des mots.
C’est seulement quand on a fait une catégorisation qu’on va prendre conscience des mots. Les catégories forment un filtre : le crible phonologique
La prononciation est le seul aspect moteur d’une langue et il se développe grâce au feedback

« Le système phonologique d’une langue est semblable à un crible à travers lequel passe tout ce qui est dit. Seules restent dans le crible les marques phoniques pertinentes pour individualiser les phonèmes. Tout le reste tombe dans un autre crible où restent les marques phoniques ayant une valeur d’appel ; plus bas se trouve encore un crible où sont triés les traits phoniques caractérisant l’expression du sujet parlant. Chaque homme s’habitue dès l’enfance à analyser ainsi ce qui est dit et cette analyse se fait d’une façon tout à fait automatique et inconsciente. Mais en outre le système des cribles, qui rend cette analyse possible, est construit différemment dans chaque langue 

L’homme s’approprie le système de sa langue maternelle. Mais s’il entend parler une autre langue, il emploie involontairement pour l’analyse de ce qu’il entend le « crible phonologique » de sa langue maternelle qui lui est familier. Et comme ce crible ne convient pas pour la langue étrangère entendue, il se produit de nombreuses erreurs et incompréhensions. Les sons de la langue étrangère reçoivent une interprétation phonologiquement inexacte, puisqu’on les fait passer par le « crible phonologique » de sa propre langue. ». Le crible phonologique, Troubetzkoy

Le crible phonologique est une sorte de filtre à travers lequel passe le signal sonore et est aussi une métaphore pour le processus d’encodage avant la prise de parole. 

Ecrire une langue inconnue, expérience.
Cette expérience devait montrer que le rapport entre graphie et son dépend de notre connaissance de la langue et que notre connaissance d’une langue « maternelle » impacte sur notre décodage d’une langue inconnue. 

La catégorisation : une expérimentation avec une langue connue et inconnue a démontré que la prononciation est un phénomène cognitif ainsi qu’un acte moteur et que les phonèmes sont des catégories que nous imposons sur le signal sonore après avoir pris connaissance des mots. 

L’exemple de l’apprentissage de la conduite d’une voiture devait montrer que dans un apprentissage ‘normal’ nous progressons de connaissances déclaratives à des connaissances procédurales. 

« Un Sandwich aux sons »
Il y a beaucoup de syllabes ouvertes de par le monde et il est très difficile pour eux d’imaginer des syllabes fermées et ils ne perçoivent pas les consonnes à la fin des syllabes.
La terminologie technique se réfère au monde qui nous entoure, n’est pas toujours appropriée car plus exacte puisqu’elle dépend de l’auditoire et elle peut ne pas être comprise.
Les analogies peuvent nous aider à modifier nos catégories cognitives et peuvent être spécifiques à une culture. 

Mondegreens et les hallucinations auditives. 

Le signal sonore peut se rendre visuel de différentes façons.

 
Mettre les mots dessus : la communication métalinguistique, utiliser la terminologie adaptée à l’individu, ne pas utiliser de termes trop compliqués, de concepts inaccessibles pour un enfant par exemple.

Les sons des langues : symboles, articulation 

Systèmes pour faciliter l’apprentissage

La méthode Verbo-tonale 

Fut d’abord créée pour faciliter l’apprentissage des langues étrangères puis on l’a ensuite utilisée pour aider les enfants sourds à entrer dans la langue.
Elle a été créée en 1954 par le professeur Peta Gubierna en Croatie, elle fut introduite dans les années 60 en France dans la pédagogie de l’enfant sourd.

Il y a une focalisation sur la perception parce que la perception est un élément essentiel. Un enfant jusqu’à un an et demi capte tout, il est capable d’entendre tous les sons de toutes les langues existantes.
Au-delà de cet âge s’installe le crible phonologique, en fonction de son entourage linguistique. Il ne sera donc plus capable de percevoir les sons ne faisant pas partie de sa langue maternelle.
Les erreurs de prononciation s’expliquent parce que l’on perçoit mal les sons. C’est pourquoi la méthode verbo-tonale se concentre sur la perception. 

Le crible phonologique ne convient pas pour la langue étrangère connue, il se produit de nombreuses erreurs et incompréhensions.
Ces erreurs sont révélatrices des limites du crible de l’étudiant et c’est à partir de ces erreurs que l’enseignant sera en mesure d’étirer le crible de l’étudiant. 

Pour obtenir une voyelle plus grave, il faut utiliser une intonation descendante et des consonne graves. Il faut aussi utiliser le chuchotement et le relâchement du corps, le corps reflète la tension. Prononcer un son tendu avec les poings serrés et les poings tendus par exemple et prononcer les sons relâchés avec le corps détendu.
🡺 Exemple atelier de correction phonétique, gestes qui sont utilisés dans la méthode verbo-tonale. 

Au début de l’apprentissage de la méthode, il n’y a pas de graphie qui n’est pas significative pour l’apprentissage du système phonétique d’une langue.
La correction ne se fait pas sur l’articulation mais sur l’articulation, les limites du crible de l’étudiant sont identifiables dans ses erreurs et c’est donc au professeur de travailler pour étirer le crible de l’étudiant.
Ce dernier doit acquérir le nouveau système de manière quasi-inconsciente 

Le système de graphie

En Papouasie, en Nouvelle Guinée se trouvent 7.6 million d’habitants et 850 langues et tous les deux, trois ans on en découvre une nouvelle.
Exemple d’un système de symbole qui représente graphiquement les sons d’une langue naturelle, l’alphabet Cherokee, créé en 1802 

Sequoyah, guerrier Cherokee « branché » nouvelles technologies avait remarqué que les blancs avaient des ‘feuilles qui parlaient’ et que c’était militairement, stratégiquement parlant.
C’est alors qu’il décida de créer un système de symboles pour communiquer et combattre les stratégies des blancs. En 1827 est paru le premier journal écrit avec l’alphabet Cherokee.

API

Au début, l’alphabet phonétique international a été créé pour aider les enfants à apprendre à lire puis, il a été utilisé pour préserver de nouvelles langues, par exemple, le Cherokee. Alors que maintenant, ce système est utilisé pour l’apprentissage d’autres langues et particulièrement sa prononciation.
API se réfère à une association créée en 1886 par des professeurs de langues à Paris qui avaient remarqués qu’il était difficile d’apprendre une langue étrangère (moyens techniques moindres) l’époque).  API fait aussi référence au tableau phonétique et cela a aussi était mis en place pour aider les enfants à apprendre à lire, ce tableau est basé sur la capacité articulatoire.
Lorsque l’on produit une voyelle et que l’air sort, il n’y a pas d’obstacle alors que lorsque l’on produit une consonne, l’air fait face à des obstacles. 

Consonnes pulmonaires
Il existe une façon simple de les décrire, de les nommer

  • Mode d’articulation est l’axe verticale 
  • Lieux ou locus d’articulation sont sur l’axe horizontale
  • Voisement : non voisée à gauche, voisée à droite
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La Surdité

Aspects sociolinguistiques du langage

Aspects psychologiques du langage

Lorsque l’on parle ou écoute, cela nécessite un traitement de l’information, c’est la souplesse du cerveau qui déterminera la qualité de l’apprentissage : il y a une plasticité du cerveau.
ex : si l’on est aveugle, les neurones qui travaillent sur le visuel vont être employés pour travailler sur l’audition
Quand on est « bombardés de stimuli » s’entraînent des connexions entre les neurones, les connexions entre les neurones se nomment synapses. La plasticité du cerveau dépend directement du nombre de synapses, bien que présente à tout âge, elle dépend du system sensoriel et du système moteur.
Dans chaque cerveau, il y a un nombre astronomique de neurones : 100 milliards chez un adulte pour 10 milliards de milliards de synapses. Maintenant, s’il on veut créer des synapses, il faut des milliards de stimuli, en gardant en tête que la nature / la modalité du stimulus, est importante.

Principe de Hebb
« neurons that fire together, wire together »
Lorsque deux neurones s’activent en même temps, ils se connectent et connectent entre eux deux éléments, renforcement moteur ?
-« de » est différent de « à » en français et ship est différent de sheep en anglais. 

Neurones miroirs
Le rôle principal des neurones miroirs est de comprendre les neurones moteurs, ils servent à renforcer les synapses.

La focalisation
C’est l’habitude que l’on ne peut pas changer, par exemple, parler anglais avec un accent français. Néanmoins, une situation de focalisation peut évoluer grâce à la plasticité du cerveau. 

Apprendre une langue à partir de la prosodie (intonation, rythme …etc). Le fœtus capte l’intonation d’une langue, puis il faut faire des répétitions en cœur pour activer la mémoire sensorielle-moteur, bouger pour créer de nouveaux stimuli et donc de nouvelles synapses. Il faut établir ses connaissances dans la mémoire à long terme. 

Lorsque l’on parle de cognition, on parle de ce qui se passe dans le cerveau. C’est un réseau où tout est interconnecté, à partir de là, on peut tout moduler. L’apprentissage, c’est le renforcement des synapses dans le réseau par la récurrence.
On parle de deux sortes de connaissances : 

  • Les connaissances déclaratives qui sont des données auxquelles nous prêtons beaucoup d’attention, c’est « savoir que »
  • Les connaissances procédurales sont des processus auxquels on ne prête plus attention : « savoir comment »

Dans l’apprentissage d’une langue, ces notions ont un rôle majeur : l’attention, le feedback, la catégorisation.
L’attention est évidemment indispensable pour arriver à apprendre correctement, le feedback aide à se situer par à rapport à son objectif et la catégorisation aide à fonctionner de manière efficace. 

La prononciation : un phénomène cognitif et moteur. Dans une langue étrangère inconnue, on croit entendre des sons semblables à des mots.
C’est seulement quand on a fait une catégorisation qu’on va prendre conscience des mots. Les catégories forment un filtre : le crible phonologique
La prononciation est le seul aspect moteur d’une langue et il se développe grâce au feedback

« Le système phonologique d’une langue est semblable à un crible à travers lequel passe tout ce qui est dit. Seules restent dans le crible les marques phoniques pertinentes pour individualiser les phonèmes. Tout le reste tombe dans un autre crible où restent les marques phoniques ayant une valeur d’appel ; plus bas se trouve encore un crible où sont triés les traits phoniques caractérisant l’expression du sujet parlant. Chaque homme s’habitue dès l’enfance à analyser ainsi ce qui est dit et cette analyse se fait d’une façon tout à fait automatique et inconsciente. Mais en outre le système des cribles, qui rend cette analyse possible, est construit différemment dans chaque langue 

L’homme s’approprie le système de sa langue maternelle. Mais s’il entend parler une autre langue, il emploie involontairement pour l’analyse de ce qu’il entend le « crible phonologique » de sa langue maternelle qui lui est familier. Et comme ce crible ne convient pas pour la langue étrangère entendue, il se produit de nombreuses erreurs et incompréhensions. Les sons de la langue étrangère reçoivent une interprétation phonologiquement inexacte, puisqu’on les fait passer par le « crible phonologique » de sa propre langue. ». Le crible phonologique, Troubetzkoy

Le crible phonologique est une sorte de filtre à travers lequel passe le signal sonore et est aussi une métaphore pour le processus d’encodage avant la prise de parole. 

Ecrire une langue inconnue, expérience.
Cette expérience devait montrer que le rapport entre graphie et son dépend de notre connaissance de la langue et que notre connaissance d’une langue « maternelle » impacte sur notre décodage d’une langue inconnue. 

La catégorisation : une expérimentation avec une langue connue et inconnue a démontré que la prononciation est un phénomène cognitif ainsi qu’un acte moteur et que les phonèmes sont des catégories que nous imposons sur le signal sonore après avoir pris connaissance des mots. 

L’exemple de l’apprentissage de la conduite d’une voiture devait montrer que dans un apprentissage ‘normal’ nous progressons de connaissances déclaratives à des connaissances procédurales. 

« Un Sandwich aux sons »
Il y a beaucoup de syllabes ouvertes de par le monde et il est très difficile pour eux d’imaginer des syllabes fermées et ils ne perçoivent pas les consonnes à la fin des syllabes.
La terminologie technique se réfère au monde qui nous entoure, n’est pas toujours appropriée car plus exacte puisqu’elle dépend de l’auditoire et elle peut ne pas être comprise.
Les analogies peuvent nous aider à modifier nos catégories cognitives et peuvent être spécifiques à une culture. 

Mondegreens et les hallucinations auditives. 

Le signal sonore peut se rendre visuel de différentes façons.

 
Mettre les mots dessus : la communication métalinguistique, utiliser la terminologie adaptée à l’individu, ne pas utiliser de termes trop compliqués, de concepts inaccessibles pour un enfant par exemple.

Les sons des langues : symboles, articulation 

Systèmes pour faciliter l’apprentissage

La méthode Verbo-tonale 

Fut d’abord créée pour faciliter l’apprentissage des langues étrangères puis on l’a ensuite utilisée pour aider les enfants sourds à entrer dans la langue.
Elle a été créée en 1954 par le professeur Peta Gubierna en Croatie, elle fut introduite dans les années 60 en France dans la pédagogie de l’enfant sourd.

Il y a une focalisation sur la perception parce que la perception est un élément essentiel. Un enfant jusqu’à un an et demi capte tout, il est capable d’entendre tous les sons de toutes les langues existantes.
Au-delà de cet âge s’installe le crible phonologique, en fonction de son entourage linguistique. Il ne sera donc plus capable de percevoir les sons ne faisant pas partie de sa langue maternelle.
Les erreurs de prononciation s’expliquent parce que l’on perçoit mal les sons. C’est pourquoi la méthode verbo-tonale se concentre sur la perception. 

Le crible phonologique ne convient pas pour la langue étrangère connue, il se produit de nombreuses erreurs et incompréhensions.
Ces erreurs sont révélatrices des limites du crible de l’étudiant et c’est à partir de ces erreurs que l’enseignant sera en mesure d’étirer le crible de l’étudiant. 

Pour obtenir une voyelle plus grave, il faut utiliser une intonation descendante et des consonne graves. Il faut aussi utiliser le chuchotement et le relâchement du corps, le corps reflète la tension. Prononcer un son tendu avec les poings serrés et les poings tendus par exemple et prononcer les sons relâchés avec le corps détendu.
🡺 Exemple atelier de correction phonétique, gestes qui sont utilisés dans la méthode verbo-tonale. 

Au début de l’apprentissage de la méthode, il n’y a pas de graphie qui n’est pas significative pour l’apprentissage du système phonétique d’une langue.
La correction ne se fait pas sur l’articulation mais sur l’articulation, les limites du crible de l’étudiant sont identifiables dans ses erreurs et c’est donc au professeur de travailler pour étirer le crible de l’étudiant.
Ce dernier doit acquérir le nouveau système de manière quasi-inconsciente 

Le système de graphie

En Papouasie, en Nouvelle Guinée se trouvent 7.6 million d’habitants et 850 langues et tous les deux, trois ans on en découvre une nouvelle.
Exemple d’un système de symbole qui représente graphiquement les sons d’une langue naturelle, l’alphabet Cherokee, créé en 1802 

Sequoyah, guerrier Cherokee « branché » nouvelles technologies avait remarqué que les blancs avaient des ‘feuilles qui parlaient’ et que c’était militairement, stratégiquement parlant.
C’est alors qu’il décida de créer un système de symboles pour communiquer et combattre les stratégies des blancs. En 1827 est paru le premier journal écrit avec l’alphabet Cherokee.

API

Au début, l’alphabet phonétique international a été créé pour aider les enfants à apprendre à lire puis, il a été utilisé pour préserver de nouvelles langues, par exemple, le Cherokee. Alors que maintenant, ce système est utilisé pour l’apprentissage d’autres langues et particulièrement sa prononciation.
API se réfère à une association créée en 1886 par des professeurs de langues à Paris qui avaient remarqués qu’il était difficile d’apprendre une langue étrangère (moyens techniques moindres) l’époque).  API fait aussi référence au tableau phonétique et cela a aussi était mis en place pour aider les enfants à apprendre à lire, ce tableau est basé sur la capacité articulatoire.
Lorsque l’on produit une voyelle et que l’air sort, il n’y a pas d’obstacle alors que lorsque l’on produit une consonne, l’air fait face à des obstacles. 

Consonnes pulmonaires
Il existe une façon simple de les décrire, de les nommer

  • Mode d’articulation est l’axe verticale 
  • Lieux ou locus d’articulation sont sur l’axe horizontale
  • Voisement : non voisée à gauche, voisée à droite
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